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Deux stewarts pour des "blagues" considérées comme grave

Légitime sanction contre des salariés irresponsables ? Représailles visant à écarter des gêneurs ? Le licenciement de deux stewards par la compagnie irlandaise CityJet, une filiale d'Air France, crée des remous.

Le 14 mai, lors d'un vol Dublin-Paris, un chef de cabine glisse quelques "blagues" en annonçant les consignes de sécurité : "Veuillez garder votre ceinture de sécurité Gucci attachée", "des gilets de sauvetage Chanel sont situés sous votre siège", etc. L'épisode est rapporté à la direction de CityJet par un passager, cadre chez Air France. Après enquête, la compagnie irlandaise découvre que le plaisantin n'était pas en service mais en "positioning" : il portait son uniforme et pouvait, en cas de nécessité, être sollicité, mais il ne figurait pas sur le planning du vol ; les démonstrations de sécurité auraient dû être assurées par le "chef de cabine en titre", affirme Me Stéphane Bloch, l'avocat de CityJet.


D'après la compagnie, l'auteur des facéties aurait ajouté : "Les parents voyageant avec des enfants doivent mettre leur masque à oxygène avant d'en appliquer un à leurs enfants, en commençant par celui qu'ils préfèrent." L'intéressé, qui désire garder l'anonymat, dément.

Jugeant ces comportements très graves, CityJet congédie, à la fin mai, le blagueur et le chef de cabine "en titre", coupable d'avoir laissé faire. Deux hôtesses écopent d'un avertissement.

Cette décision est liée "au fait que nous avons assigné CityJet devant les prud'hommes", estime l'un des stewards. Soumis au code du travail irlandais, une vingtaine de salariés établis en France demandent à bénéficier de la loi française. Ce problème de droit est, par ailleurs, au coeur d'une enquête préliminaire ouverte par le parquet de Créteil ; les deux chefs de cabine remerciés ont été entendus dans le cadre de ces investigations. Selon Bernard Thouvenot, vice-procureur au tribunal de grande instance de Créteil, les auditions se déroulent dans un "mauvais climat" car les salariés donnent le sentiment de "ne pas s'exprimer librement". "Ils ont peur de perdre leur emploi et de ne pas en retrouver dans d'autres compagnies", commente Me Nathalie Micault, l'avocate des navigants.

Me Bloch assure qu'il n'y a pas de lien entre les deux procédures en cours et les licenciements des stewards. Même s'ils n'avaient pas saisi la justice, explique-t-il, ces salariés "auraient été sanctionnés de la même manière" car ils ont "détourné les règles de sécurité".

Bizarre comme nouvelle Ce n'est pas si grave que ça, et même plutôt marrant Mais bon, oui, pourquoi les hôtesses de l'air n'ont-elles rien fait?

DUBLIN (Reuters) - Les premiers décomptes laissent penser qu'une majorité d'Irlandais ont voté "non" la veille au référendum sur le traité européen de Lisbonne, ce qui compromettrait les projets de réformes de l'UE.

A Dublin, des observateurs du dépouillement ont déclaré à Reuters que le "non" était en tête dans cinq circonscriptions de la capitale, le score étant partagé dans trois autres et le "oui" dominant la tendance dans une autre. Dublin représente environ un quart de l'électorat du pays.

Des correspondants de la radio-télévision publique RTE dans d'autres régions d'Irlande ont également dit que les dépouillements préliminaires faisaient apparaître le "non" en tête.

Joan Burton, numéro deux du Parti travailliste irlandais, favorable au traité, a dit que la capitale semblait en voie de rejeter le traité: "Il semble bien maintenant que le vote 'non' soit en tête. Je crois que, dans l'ensemble, à Dublin, les quartiers ouvriers se portent nettement vers le 'non'."

"Le vote 'oui' paraît fort dans certains secteurs plus 'classes moyennes', mais honnêtement je ne crois pas qu'il soit assez fort pour compenser la taille du 'non'", a-t-elle déclaré à Reuters.

L'euro est tombé à son niveau le plus bas contre le dollar après les premières informations suggérant une victoire du "non", qui menacerait l'ensemble du programme de réformes de l'Union européenne.

Aie

ce n'est vraiment pas étonnant

Les Irlandais ont rejeté le traité de Lisbonne

C'était à prévoir...
Oh zut de zut de zut!...

Oh, donc ce n'est pas encore pour cette fois

Oh zut! Encore un coup pour l'espace Euro comment ça va avancer?

C'est pénible cette histoire!
Aucun pays n'arrive à se mettre d'accord pour la façon de "voter"...Les uns font appel au parlement, les autres, à un référendum...
On ne s'en sortira jamais s'il n'y a pas de décisions commune...

hélas, c'est le cas!! Aux infos, j'avais vu qu'en fait, les deux clans pour le "oui" et pour le "non" en Irlande étaient très inégaux, enfin que les membres du "non" étaient beaucoup actifs pour faire connaître leurs idées et faire campagne auprès des populations.
Et comme les irlandais sont assez "conservateurs", le résultat est là = le parti du "non" a largement influencé les votes
Mais c'est dommage que l'Europe soit ainsi bloquée "en stand by"

J'ai entendu les mêmes commentaires que toi...
Effectivement, c'est du "sur place", là...

Je trouve que c'est dommage, nous aurions tellement à faire encore!!!

L'irlande n'est pas la seule à avoir dit non rappelez la france avant que sarko décide de faire passer le oui de force

of course Erin, d'autres pays aussi!

C'est dommage parce que peut-être que le vote des irlandais aurait permit une avancée......

perso je suis pour le non alors je comprends . Et pourtant je suis pour l'Europe mais pas pour ce qu'on nous propose.

TOKYO (Reuters) - Un tremblement de terre d'une magnitude de 7,2 sur l'échelle ouverte de Richter a frappé le nord du Japon, faisant trois morts, une dizaine de disparus et une centaine de blessés.

L'épicentre du séisme, qui s'est produit à 8h43 (vendredi 23h43 GMT), était situé à dix kilomètres de profondeur dans la région d'Iwate, une zone montagneuse peu peuplée à 300 kilomètres au nord de Tokyo.

Le tremblement de terre a été ressenti jusque dans la capitale où des immeubles ont été ébranlés.

L'une des personnes tuées a été emportée par un glissement de terrain, a précisé le secrétaire général du gouvernement, Nobutaka Machimura.

Une autre a été renversée par une voiture alors qu'elle sortait en courant d'un bâtiment et un homme a été tué par des chutes de pierres sur le chantier d'un barrage, a précisé la chaîne de télévision NHK.

Selon l'agence de presse Kyodo, une centaine de personnes ont été blessées.

Deux mille voyageurs se sont retrouvés bloqués par l'arrêt en pleine voie des trains à grande vitesse circulant dans la région, a précisé un porte-parole de la compagnie ferroviaire JR East.

Il a ajouté qu'il faudrait peut-être neuf heures pour que le service reprenne, le temps d'effectuer les contrôles nécessaires.

Les médias locaux font état d'une dizaine de disparus. Quatre personnes, notamment, ont été ensevelies par un glissement de terrain dans la station thermale de Kurihara, selon la chaîne TV Asahi.

Trois autres personnes sont portées disparues à la suite d'un autre glissement de terrain, toujours à Kurihara, d'après Kyodo.

Oh merde!!!
Ca ne doit pas te rassurer pour ton départ, cette nouvelle

c'est ce que j'allais dire ! pétard pas de chance l'asie en ce moment

Emelyne a écrit:

Oh merde!!!
Ca ne doit pas te rassurer pour ton départ, cette nouvelle

Ben pas vraiment, c'est sûr...

Comme dit Erin, l'Asie "trinque" pas mal en ce moment, côté catastrophes...

Tu vas tout de même y aller?

J'ai payé mon voyage!
Par contre, je pense qu'à la période où j'y vais, s'il y avait un gros soucis, le voyage pourrait être annulé...C'est un risque à prendre...

Oui, et puis tu as besoin de ces vacances ! J'espère vraiment que la période où tu vas y aller sera calme

C'est gentil, Em!
Mais tout le monde a besoin de vacances, non?...
Vous les étudiantes qui bossez comme des folles, du repos sera le bienvenu...Et fermez les livres et les cours...!